Depuis toujours vous avez voulu écrire, ou vous écrivez depuis un certain temps. Parfois, souvent, vous doutez et vous vous demandez si vous possédez les aptitudes requises pour être écrivain.
Jacques Brel disait « le talent n’existe pas, le talent c’est l’envie d’avoir faire quelque chose ». L’envie d’écrire doit vous dévorer, sans passion, vous n’arrivez rien, il s’agit vraiment d’un travail de longue haleine. N’écrivez jamais pour de l’argent, c’est l’un des pires domaines. Écrivez pour le bonheur, le plaisir d’aligner phrases et mots dans le traitement de texte.
Elle apparaît indispensable. Un livre ne s’écrit jamais tout seul, il faut une organisation quasi militaire.
Écrire un livre demande plus de régularité que d’intensité. Vingt minutes par jour peuvent suffire, mais, il ne faut pas y déroger.
Il s’agit d’un travail de longue haleine, il ne faut jamais rien lâcher. L’inspiration connaît des hauts et des bas, et le doute demeure inhérent à la vie d’auteur.
Elles accompagnent naturellement la patience. Parfois même jusqu’à la bêtise, et s’y remettre chaque jour, même si vous avez l’impression que cela n’avance plus.
Écrire, c’est réécrire. Sans cesse. Il faut aussi apprendre à se couper, à mutiler son texte. À le resserrer, jusqu’à la perfection. Chaque phrase doit tenir son rôle.
Contrairement, à ce qu’on imagine, la créativité ne suffit pas. Il est bien connu que pour être un bon écrivain, il faut 10% de talent et 90% de détermination.