Poésie et publication

Un débutant qui souhaite publier de la poésie en volumes à compte d’éditeur a des chances quasiment nulles. L’autoédition lui apportera une satisfaction personnelle mais l’audience restera limitée aux nombres d’intimes. En dehors de ce petit cercle, il lui reste les revues de poésie. Submergées de demandes, elles restent quand même une solution. Ce type de publication est nul, pécuniairement parlant mais permettra de rencontrer des personnes qui vibrent pour les mêmes choses que vous.

Par principe, il faut écarter les revues qui demandent une participation financière. Seconde principe : ne pas aliéner ses droits sur les textes publiés. Acceptez d’être publié avec une rémunération faible ou sans rémunération mais restez propriétaires de vos droits. Si vos poèmes ont été publiés par un éditeur ayant pignon sur rue, vous ne lui devez rien, mais vous leur laisserez un droit de préférence.